Burkini : l'ONU critique une " interdiction discriminatoire " et " stupide "
Les arrêtés anti-burkini ont suscité un débat passionné en France, mais aussi à l'étranger. Le Haut-Commissariat de l'ONU aux droits humainsa salué mardi 30 août la décision prise par la ...
Et voilà que maintenant l'ONU s'y met elle aussi au "french-bashing"
-Ce n'est pas en cachant les symptômes qu'on guérit une maladie-
En débattant sur l'interdiction du burkini on se trompe de problème.
Oui, le port du burkini est un acte militant des salafistes.Oui il est un symbole de remise en cause des droits de la femme, contraire à notre culture et choquant.
Mais le burkini n'est que le symptôme du problème. Or ce n'est pas en cachant les symptômes qu'on guérit une maladie.
D'ailleurs, interdire un type d'habillement est contraire au principe de liberté sur laquelle est fondée notre société européenne.
C'est pourquoi, je suis contre une interdiction. Si des femmes musulmanes veulent se momifier le corps en s'enveloppant de tissus synthétiques, c'est leur problème.
Par contre, je suis pour des sanctions exemplaires à chaque fois que des islamistes menacent les femmes vêtues à l'occidentale, que ce soit à la plage ou dans la rue.
-Le problème caché: l'appropriation territoriale-
Car c'est bien cela la prochaine étape : l'appropriation par les islamistes des piscines et des plages où toute personne étrangère à leur secte sera intimidée, menacée, expulsée, agressée. C'est à ce moment-là qu'il faudra se montrer ferme et sanctionner afin de protéger les victimes.
Pourtant il est à parier que, lorsque de telles agressions se multiplieront, les pouvoirs publics et les médias seront les premiers à fermer les yeux ou à maquiller cela en " simples incivilités". Comme cela se passe depuis des années dans les banlieues.
-Une polémique qui en dit long sur l'état de la France-
Cette polémique est emblématique de la censure de l'espace public sur les questions fondamentales (immigration massive, islamisation). Lorsqu'on prive le peuple de tout moyen d'action et de décision sur les questions fondamentales qui le concernent, celui-ci réagit en se crispant sur des questions mineures mais symboliques, comme le burkini.